Family tree van Wincoop - Sandkuijl » Pepin(Pepijn "de Korte") (Pepin "Le Bref"(Pepijn "de Korte")) "Le Bref" des Francs Roi des Francs, Maire du palais de Neustrie, Maire du Palais d'Austrasie (± 714-768)

Personal data Pepin(Pepijn "de Korte") (Pepin "Le Bref"(Pepijn "de Korte")) "Le Bref" des Francs Roi des Francs, Maire du palais de Neustrie, Maire du Palais d'Austrasie 

Source 1

Household of Pepin(Pepijn "de Korte") (Pepin "Le Bref"(Pepijn "de Korte")) "Le Bref" des Francs Roi des Francs, Maire du palais de Neustrie, Maire du Palais d'Austrasie

He is married to Bertrade (Bertha) de Laon.

They got married


Child(ren):


Do you have supplementary information, corrections or questions with regards to Pepin(Pepijn "de Korte") (Pepin "Le Bref"(Pepijn "de Korte")) "Le Bref" des Francs Roi des Francs, Maire du palais de Neustrie, Maire du Palais d'Austrasie?
The author of this publication would love to hear from you!


Timeline Pepin(Pepijn "de Korte") (Pepin "Le Bref"(Pepijn "de Korte")) "Le Bref" des Francs Roi des Francs, Maire du palais de Neustrie, Maire du Palais d'Austrasie

  This functionality is only available in Javascript supporting browsers.
Click on the names for more info. Symbols used: grootouders grandparents   ouders parents   broers-zussen brothers/sisters   kinderen children

Ancestors (and descendant) of Pepin(Pepijn "de Korte") des Francs


    Show complete ancestor table

    With Quick Search you can search by name, first name followed by a last name. You type in a few letters (at least 3) and a list of personal names within this publication will immediately appear. The more characters you enter the more specific the results. Click on a person's name to go to that person's page.

    • You can enter text in lowercase or uppercase.
    • If you are not sure about the first name or exact spelling, you can use an asterisk (*). Example: "*ornelis de b*r" finds both "cornelis de boer" and "kornelis de buur".
    • It is not possible to enter charachters outside the standard alphabet (so no diacritic characters like ö and é).

    Relationship Pepin(Pepijn "de Korte") (Pepin "Le Bref"(Pepijn "de Korte")) "Le Bref" des Francs Roi des Francs, Maire du palais de Neustrie, Maire du Palais d'Austrasie



    Visualize another relationship

    Sources

    1. Wikipedia, accessed 23-04-2020), https://fr.wikipedia.org/wiki/P%C3%A9pin_le_Bref
      Pépin le Bref
      Sauter à la navigationSauter à la recherche
      Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Pépin et Pépin III.
      Pépin le Bref
      Illustration.
      Pépin le Bref couronné par le pape Étienne II tandis que Childéric III est déposé.
      Enluminure des Chroniques de Saint-Denis, Paris, Bibliothèque Sainte-Geneviève, ms. 782, fo 107 ro, xiiie siècle.
      Titre
      Roi des Francs
      novembre 751 – 24 septembre 768
      Couronnement novembre 751 1re fois
      28 juillet 754 2e fois par le pape Étienne II
      Prédécesseur Childéric III
      Successeur Charlemagne
      Carloman Ier jusqu'en 771
      Maire du palais de Neustrie
      Maire du Palais d'Austrasie
      741 – novembre 751
      Prédécesseur Charles Martel
      Successeur disparition de la fonction
      Biographie
      Titre complet Maire du palais de Neustrie (741-751)
      Roi des Francs (751-768)
      Dynastie Carolingiens
      Date de naissance 714
      Lieu de naissance Inconnu (aucune source fiable). Pour certains, il serait né à Jupille (Belgique), pour d'autres à Quierzy-sur-Oise ou à Laon (France).
      Date de décès 24 septembre 768 (54 ans)
      Lieu de décès Saint-Denis
      Père Charles Martel
      Mère Rotrude
      Conjoint Bertrade de Laon dite
      Enfants Charlemagne Red crown.png
      Carloman Ier Red crown.png
      Gisèle
      Pépin
      Berthe
      Rothaïde
      Adélaïde
      modifier Consultez la documentation du modèle
      Pépin III, dit 1, né en 7142, et mort le 24 septembre 7683 à Saint-Denis, près de Paris, est roi des Francs de 751 à 768. Issu de la famille noble franque que l'on appellera les Pippinides, maires du palais de père en fils et véritables détenteurs du pouvoir sous les derniers Mérovingiens, il sera le premier maire du palais à être proclamé roi, en renvoyant au monastère le dernier roi mérovingien Childéric III, créant ainsi une dynastie, les Carolingiens. Il est le fils de Charles Martel et le père de Charlemagne.


      Sommaire
      1 Biographie
      1.1 Maire du palais avec Carloman
      1.1.1 Le partage de l'héritage de Charles Martel
      1.1.2 Le soutien à la réforme de l'Église
      1.1.3 La crise de 743
      1.1.4 L'éviction du dernier mérovingien
      1.2 Roi des Francs
      1.2.1 Le sacre de 751
      1.2.2 Le soutien à la papauté et la lutte contre les Lombards
      1.2.3 Le sacre de 754 et la création des États pontificaux
      1.2.4 La consolidation du royaume
      1.3 Mort
      2 Chronologie
      3 Mariage et descendance
      4 Notes et références
      5 Voir aussi
      5.1 Bibliographie
      5.2 Télévision
      5.3 Articles connexes
      5.4 Liens externes
      Biographie
      Né peut-être à Jupille4 (en raison de la présence possible d'une résidence des souverains carolingiens près de Liège où serait mort son grand-père Pépin de Herstal)5, il est le fils cadet de Charles Martel et de Rotrude.

      Il semblerait que son surnom, apparu assez tard dans l'historiographie (il est mentionné par le moine de l'abbaye bénédictine de Saint-Gall, Notker le Bègue, vers la fin du ixe siècle et devient général chez tous les auteurs à partir du xie siècle6), soit dû à sa petite taille, signifiant à l'époque7.

      Les chroniques de l'époque donnent peu de renseignements sur sa jeunesse. L'hagiographe Alcuin, dans sa Vita Willibrordi, précise que Pépin est confié aux moines de Saint-Denis. Alors que son frère aîné Carloman accompagne Charles Martel pour participer à ses campagnes militaires, Pépin, même s'il est destiné à recevoir en partage la mairie du royaume franc8, est plus dédié à la religion, grâce à ces moines qui l'éduquent dans la piété et lui donnent une certaine érudition9.

      Maire du palais avec Carloman
      Le partage de l'héritage de Charles Martel
      En cette période de décadence de la dynastie mérovingienne, les rois légitimes n'ont plus aucune autorité : les vrais dirigeants de l'État sont les maires du palais, en particulier lorsqu'il s'agit d'hommes énergiques, comme Charles Martel.

      À sa mort, en 741, sa charge de maire du palais est partagée, selon la tradition franque, entre ses deux fils. L'aîné Carloman, devient maire du palais d'Austrasie et obtient l'Alémanie et la Thuringe, Pépin devient maire du palais de Neustrie et garde la Provence et la Bourgogne. Griffon, le troisième fils de Charles Martel, né de Swanahilde, une épouse bavaroise de second rang, n'obtient que quelques comtés10. Pépin et Carloman font enfermer Griffon au château de Chèvremont, près de Liège11.

      En 742, les deux frères redéfinissent à Vieux-Poitiers leurs parts respectives et remettent en question les limites traditionnelles des royaumes francs12.

      Pépin et Carloman luttent tout d'abord pour ramener la stabilité aux marges du royaume. Ils doivent faire face à des velléités d'autonomie sinon d'indépendance des Aquitains alliés aux Vascons, des Bavarois et des Alamans. Le duc de Bavière, Odilon, avait épousé malgré leur opposition leur sœur Hiltrude et s'était allié au duc d'Aquitaine Hunald Ier. Odilon, malgré l'aide des Saxons, est vaincu sur le Lech en 743. Carloman lui enlève le Nordgau (de), mais ne le prive pas de son duché. L'Irlandais Virgile, nommé évêque de Salzbourg, s'occupe de surveiller les Bavarois. De son côté, Hunald Ier, vaincu en 742 et en 745, doit renoncer à son duché d'Aquitaine et de Vasconie et se retirer à l'île de Ré. Il est remplacé par son fils Waïfre, qui donne encore du fil à retordre à Pépin. À l'est, l'aristocratie des Alamans est massacrée à Cannstatt sur le Neckar en 746. Leur duché est démembré et leur territoire confié à deux comtes francs, Warin et Ruthard.

      Le soutien à la réforme de l'Église

      Statue de Boniface (Mayence).
      Ils entament ensuite une réforme de l'Église, avec l'aide de l'évêque Boniface de Mayence13 ; ce dernier estimait en effet que le clergé était devenu incapable et débauché :



      Les conciles, assemblées du clergé au cours desquelles étaient prises des décisions d'ordre disciplinaire ou théologique, n'étaient plus réunis depuis longtemps. D'autre part, l'Église franque se plaint d'avoir été spoliée par Charles Martel.

      Des conciles sont organisés dès les premières années :

      le premier à la demande de Carloman en avril 743, appelé concile germanique, a lieu en Austrasie dans un lieu non déterminé14 ;
      le second par Pépin, en mars 744 à Soissons15 en Neustrie, où sont reprises les décisions adoptées lors du concile d'Austrasie.
      Cette réforme met en place une nouvelle hiérarchie au sein du clergé franc, à la tête de laquelle on trouve saint Boniface (680-754), l'évangélisateur de la Germanie, comme dirigeant des différents évêques répartis dans différentes villes du royaume. Les prêtres indignes sont destitués. Pépin décide de restituer les terres accaparées par son père en précaire à la demande du roi selon la precaria verbo regis16.

      En outre, Pépin soutient les tentatives de saint Boniface pour évangéliser les Germains d'au-delà du Rhin, principalement dans l'espoir que la conversion des turbulents voisins du royaume franc permette de pacifier les frontières et d'en préparer l'annexion future. Dans le cadre de ce soutien, le siège épiscopal de Mayence est érigé en métropole de la nouvelle Église germanique, qui est ainsi rattachée dès sa naissance à l'Église franque17.

      La crise de 743
      En 743, Pépin et Carloman libèrent le mérovingien Childéric III du monastère où il avait été enfermé par Charles Martel, et lui permettent d'occuper le trône dont leur père l'avait évincé. Son retour est motivé par la coalition formée par Griffon, le duc Odilon de Bavière, le duc d'Aquitaine Hunald Ier et celui d'Alémanie, Théodebald10. Ces derniers réagissent mal à l'élimination politique de Griffon (demi-frère de Pépin et Carloman) et contestent la légitimité des Pippinides. Après plusieurs campagnes militaires et le rétablissement de Childéric III, Pépin et Carloman trouvent le moyen de les calmer pendant un moment.

      En 744, Pépin épouse18 Bertrade de Laon traditionnellement appelée , fille de Caribert, comte de Laon. Elle lui donne plusieurs héritiers dont le futur empereur Charlemagne.

      L'éviction du dernier mérovingien
      En 747, son frère Carloman, choisissant la vie monastique en Italie (au monastère du Mont-Cassin), cède la mairie d'Austrasie à son fils Drogon sous la régence de Pépin19. Pépin écarte Drogon et devient alors le seul dirigeant effectif de tout le royaume franc. Dès lors, il va tout faire pour se débarrasser de Childéric III, le souverain mérovingien dont il dépend officiellement. D'ailleurs, son père, pour prouver l'inutilité des rois mérovingiens, avait laissé vacant le trône après la mort de Thierry IV en 737. Pendant les sept années qui suivirent, tous les documents officiels furent datés de 737.

      En 749 ou 750, Pépin envoie une délégation franque20 auprès du pape Zacharie, pour lui demander l'autorisation de mettre fin au règne décadent des Mérovingiens, et donc de prendre la couronne à la place de Childéric III. Le pape, qui ne peut plus compter sur l'empereur à Constantinople pour faire barrage aux Lombards et soucieux d'obtenir le soutien du royaume franc en lieu et place, accepte la requête de Pépin en déclarant que . Notifiant son soutien envers le Pippinide, le souverain pontife promulgue une prescription apostolique .


      Le Dernier des Mérovingiens selon Évariste-Vital Luminais (1822-1896). Musée des Beaux-Arts de Carcassonne.
      En novembre 751, Pépin dépose Childéric III, dernier représentant des , puis se fait élire roi des Francs, au champ de mai à Soissons21. En se faisant acclamer par une assemblée d'évêques, de nobles et de leudes (grands du royaume), Pépin devient donc le premier représentant de la dynastie carolingienne. Cette élection se passe, pour une fois, sans effusion de sang. Après avoir été déposé, Childéric III est tonsuré (il perd les cheveux longs, signe de pouvoir chez les mérovingiens) et va finir ses jours, enfermé au monastère de Saint-Bertin, près de Saint-Omer22.

      Roi des Francs
      Le sacre de 751
      Mais si Pépin gagne le titre de roi des Francs par son pouvoir, il n'en a pas la légitimité, et cette rupture de la dynastie mérovingienne en appelle une nouvelle qui doit remplacer la succession naturelle de père en fils. Cette continuité est assurée par le sacre royal, continuité de l'onction symbolisant le baptême de Clovis Ier, premier roi franc mérovingien, et l'alliance particulière entre l'Église et le roi des Francs. Là, en novembre 751, à Soissons, après l'élection de Pépin par les Francs réunis, les évêques des Gaules le sacrent23 au nom de la sainte Église catholique en lui donnant la sainte onction, marquant son front avec de l'huile sainte, le Saint-Chrême, pour lui transmettre l'Esprit Saint — comme cela se faisait déjà lors d'une cérémonie chez les rois wisigoths de Tolède ou comme l'onction des rois d'Israël dans la Bible24. Par cette onction, peut-être administrée par l'archevêque Boniface de Mayence, le roi des Francs est désormais investi par Dieu d'une mission de protection de l'Église. De plus, en détenant la force morale du droit divin, il a la charge de selon le dogme catholique, au nom de l'Église, et sous la direction du pape. Mais cette légitimité a un coût politique, celui de la fidélité à l'Église, et à celui qui la dirige, le pape Zacharie, qui, de Rome, donne son assentiment au changement de dynastie.



      — L'avènement et le sacre de Pépin le Bref d'après la Clausula de unctione Pippini regis.

      Le soutien à la papauté et la lutte contre les Lombards

      La donation de Pépin au pape Étienne II (vue d'artiste, vitrail xixe siècle).
      Les conséquences de la querelle des images qui se poursuit avec l'empereur d'Orient, Constantin V, poussent la papauté à s'allier avec le roi des Francs. Le nouveau pape Étienne II — successeur de Zacharie, mort en 752 — vient, en personne, demander à Pépin son aide militaire contre les Lombards et leur roi Aistulf (aussi écrit Aistulphe ou Astolf), qui menacent Rome. En 753, Pépin le Bref envoie Chrodegang de Metz pour conduire dans le royaume des Francs le pape Étienne II. Le pape Étienne se résout à traverser les Alpes pour solliciter l'aide du roi des Francs (c'est la première fois qu'un pape entreprend pareil voyage), parce qu'il n'a pas d'autre choix. Le protecteur habituel de l'Église, l'empereur byzantin, qui règne à Constantinople sur l'empire romain d'Orient, est en mauvaise posture, et affirme ne pas être en mesure de secourir le pape. Le pape est si satisfait des services de Chrodegang qu'il lui accorde le pallium et le titre d'archevêque.

      Le 6 janvier 754, au palais de Ponthion, au sud de la Champagne, le roi Pépin vient au-devant du pape Étienne II et avec déférence, prend la bride de son cheval, reproduisant de la sorte le geste d'allégeance de l'empereur Constantin le Grand à l'égard du pape Sylvestre Ier. À la suite de cet habile acte politique, Étienne II propose à Pépin une alliance par laquelle il confirmerait par un second sacre, fait par lui-même, la grâce divine sur le roi des Francs et sur ses fils. L'accord définitif se fait le 14 avril, jour de Pâques26, à Quierzy, sur les bords de l'Oise, entre Chauny et Noyon. Le pape apporte son appui spirituel à Pépin, et ce dernier s'engage à offrir au Saint-Siège un domaine assez grand pour le mettre à l'abri de toute agression.

      Un traité est signé, créant les États pontificaux. Il comprend une donation au pape et une contrepartie. La donation, connue sous le nom de donation de Quierzy, attribue au pape l'exarchat de Ravenne, la Corse, la Sardaigne et la Sicile. Mais l'exarchat de Ravenne appartenait à l'Empire romain d'Orient avant l'invasion des Lombards, et la reconquête par Pépin le Bref ; elle ne sera pas reconnue par l'empereur d'Orient et va créer un conflit avec Constantinople. En contrepartie, le pape reconnaît la dynastie carolingienne et approuve la relégation au couvent imposée au dernier roi mérovingien, Childéric III. Cette donation est confirmée en 774, à Rome, par Charlemagne, fils de Pépin.

      Le sacre de 754 et la création des États pontificaux

      Sacre de Pépin le Bref à Saint-Denis (huile sur toile de François Dubois, 1837).
      Le dimanche 28 juillet 754, à l'abbaye royale de Saint-Denis, Étienne II en personne sacre une nouvelle fois Pépin. Il lui confère les titres de roi des Francs et de patrice des Romains (Patricius Romanorum). Les fils et héritiers de Pépin, Carloman Ier et Charlemagne, tous deux futurs rois, sont aussi sacrés par la même occasion. Leur mère, Berthe au Grand Pied, reçoit la bénédiction du souverain pontife. Le pape, par cet acte, établit un lien étroit, mais continu, entre l'onction faite aux rois de l'Ancien Testament et celle des rois de la nouvelle dynastie. Ce sacre marque officiellement la fin de la dynastie mérovingienne et l'avènement de la dynastie des Carolingiens au pouvoir.

      En confirmant la royauté de Pépin le Bref sur les Francs et en lui conférant lui-même l'onction, le pape prend aussi ses distances avec l'empereur qui règne à Byzance. Le Saint-Siège s'en remet désormais pour sa sécurité aux souverains francs. C'est le début d'une longue collaboration, souvent orageuse, avec les Carolingiens et leurs lointains héritiers du Saint-Empire romain germanique. Une autre conséquence de ce sacre est que la légitimité du roi des Francs, désormais de droit divin, ne dépend plus exclusivement des seigneurs francs, électeurs de leur roi. Pépin se considère désormais d'abord roi par la volonté de Dieu et le principe de cette royauté de droit divin va durer en France sans interruption pendant onze cents ans. C'est la fondation de la royauté sacrée, où le roi est investi par Dieu et qui durera jusqu'à Philippe le Bel.

      À compter de son sacre, Pépin ne peut plus repousser la demande du pape. Nouveau et premier roi , , il a le devoir — en tant que , prenant la défense de sa — de rompre l'alliance qui le lie aux Lombards. L'envoi d'une délégation auprès des Lombards, le 14 octobre 754, ne suffit pas à calmer leurs revendications. Aussi, en 755, Pépin lance-t-il contre eux une première expédition victorieuse. Mais l'année suivante, les Lombards assiègent Rome. De 756 à 758, Pépin doit lancer trois campagnes (couronnées de succès) pour parvenir à les repousser hors de l'exarchat de Ravenne.

      À l'issue de ces expéditions, Pépin le Bref confie au pape les territoires conquis, soit vingt-deux villes de l'Italie centrale, dont Ravenne, Pérouse et les provinces d'Émilie et de la Pentapole qui viennent s'ajouter à Rome. Cet ensemble va former le noyau des États pontificaux (voir l'article connexe la donation de Pépin). Néanmoins, après cette victoire, il multiplie les efforts diplomatiques pour tenter de rétablir un semblant de paix entre les Lombards et Rome.

      La consolidation du royaume

      Denier27 de Pépin le Bref. vers 754-768.
      Sous son règne, Pépin remet de l'ordre dans son royaume :

      Avec les grands seigneurs, il étend les rapports vassaliques par des serments de fidélité.
      Il travaille à chasser définitivement les Arabes de la Septimanie, province méridionale du royaume franc, tâche achevée en 759 avec la prise de Narbonne.
      Il reprend l'Aquitaine après une longue série de campagnes contre le duc d'Aquitaine Waïfre (Gaifier) de 761 à 768.

      Denier de Lyon sous Pépin le Bref, légendé R[ex] P[ippinus] - LUG[dunum].
      Il lutte continuellement pour asseoir son autorité aux frontières, notamment en Germanie, où depuis l'abdication de son frère Carloman en 747, il est confronté à l'opposition de son demi-frère Griffon, fils naturel de Charles Martel qui s'est fait reconnaître duc de Bavière. Vaincu, ce dernier est fait duc du Maine par Pépin, qui lui confie la marche de Bretagne, spécialement créée pour lui. Cette manière de l'éloigner des Bavarois vise à le dissuader de se révolter. Mais la mauvaise volonté de Griffon le conduit à chercher à s'allier aux Lombards. Alors qu'il va franchir les Alpes, il se fait tuer par des hommes de Pépin.

      Ce dernier entreprend également une réforme monétaire28, visant à uniformiser le poids et l'aspect du denier d'argent franc (le 11 juillet29 755), par l'édit de Ver-sur-Launette (Oise) autrement connu comme capitulaire de Ver. Mais la marque de l'autorité royale ne figurera systématiquement sur la monnaie qu'à partir de 793, sous Charlemagne. Il instaure la dîme en 756.

      Enfin, Pépin s'intéresse à la culture et au savoir grecs : entre 758 et 763, il demande au pape Paul Ier des livres écrits en grec, destinés à l'éducation de sa fille, Gisèle, et au monastère de Saint-Denis, centre de la culture carolingienne alors naissante. Paul Ier lui communique des livres liturgiques, des manuels de grammaire, d'orthographe, de géométrie, des œuvres d'Aristote et du Pseudo-Denys30.

      Mort

      Donation de Pépin le Bref à l'abbaye de Saint-Denis en 768.
      Pépin, tombé malade à Saintes, décide de se rendre à Saint-Denis en passant d'abord par Poitiers puis par Tours31. Arrivé à Saint-Denis, il convoque les grands du royaume et leur fait approuver un partage de celui-ci31. Il meurt d'hydropisie peu de temps après, le 24 septembre 76831 à l'abbaye de Saint-Denis, après avoir partagé le royaume entre ses deux fils, Charles (futur Charlemagne) et Carloman Ier32. Pépin est inhumé, face contre terre, sous le porche de l'abbatiale31.

      Pépin et ses fils ont été, avec l'abbé Fulrad, à l'origine de la construction de la troisième église bâtie sur le site de la basilique Saint-Denis. Mais seuls Pépin et la reine Berthe y furent inhumés. Celle-ci mourut en 783 au monastère de Choisy-au-Bac et son corps fut transporté à Saint-Denis pour reposer aux côtés de Pépin.

      Charlemagne, qui sera inhumé dans la chapelle palatine d'Aix, avait toutefois exprimé en 769 le vœu d'être enterré auprès de ses parents et de son grand-père, à Saint-Denis.

      Vers 835, l'empereur Louis le Pieux déclara que, selon un titulus de l'abbaye, Pépin aurait demandé à être enseveli devant l'entrée de l'église (ante limina basilicae sacrorum martyrum) en signe d'humilité. Suger répéta l'histoire en expliquant que Pépin avait été enterré comme il le souhaitait . Les pas des fidèles entrant dans l'édifice devaient ainsi piétiner la tombe royale33.

      À la raison donnée par Louis le Pieux et Suger s'ajoutent peut-être les objections soulevées au viiie siècle contre l'inhumation à l'intérieur des églises, objections vaines car la pratique s'imposa.

      Suger précise que pour construire son massif occidental, il dut détruire l'agrandissement que Charlemagne — qui fut lui-même enterré in porticu ecclesiae à Aix-la-Chapelle — aurait fait construire pour abriter la tombe de son père Pépin le Bref. Au début du xixe siècle, Napoléon Ier ordonna de rehausser le niveau du dallage sous le massif occidental de façon à créer deux escaliers d'accès à l'extérieur comme à l'intérieur de l'édifice. À cette occasion, en creusant, on découvrit alors un peu plus à l'est un sarcophage à l'emplacement approximatif désigné par Suger, exactement dans l'axe de l'église et sous l'entrée de l'ancien édifice. Alexandre Lenoir pensa avoir retrouvé la tombe primitive du premier roi carolingien et fit un relevé du sarcophage. Néanmoins, il reconnut qu'il n'avait aucune preuve formelle confirmant son hypothèse. On ne sait ce que devint ce sarcophage. De nouvelles fouilles pourraient permettre d'apporter de nouveaux éléments.


      Gisants de Pépin et Bertrade de Laon dans la basilique Saint-Denis.
      Au xiiie siècle, les restes supposés de Pépin et de son père Charles furent ramenés sous la croisée du nouveau transept pour y recevoir les gisants qu'on voit encore de nos jours. Entre la translation des cendres royales, ordonnée par Louis IX et effectuée en deux campagnes durant l'année 1264, et la dédicace des nouveaux tombeaux en 1267, trois ans s'étaient écoulés permettant la commande et la réalisation des monuments funéraires.

      Ces effigies idéalisées ne sont évidemment pas réalistes — il n'existe aucun portrait du couple — et en outre les gisants sont conçus comme des figures en pied malgré leur position horizontale.

      Chronologie

      Vue d'artiste de Pépin le Bref (peinture de Louis-Félix Amiel commandée par Louis-Philippe pour le musée de l'Histoire de France en 1837).
      714 ou 715 : naissance de Pépin, fils de Charles Martel.
      737 : il épouse Leutburgie (avec qui il aura 5 enfants)
      741 : il devient à 26 ans maire du palais de Neustrie à la mort de son père.
      743 : Pépin sort Childéric III du monastère où il était enfermé depuis 737, pour le faire monter sur le trône.
      744 : il organise le concile de Soissons qui mettra en place une hiérarchie au sein du clergé franc, à la tête de laquelle on trouve Boniface.
      744 : il épouse Bertrade de Laon.
      747 : son frère Carloman choisit la vie monastique, et cède la mairie d'Austrasie à son fils Drogon. Il est finalement écarté du pouvoir en 753 par Pépin devenu roi.
      751 : Pépin dépose Childéric III, et se fait élire roi en novembre à Soissons, par acclamations par l'assemblée de grands du royaume.
      754 : le nouveau pape Étienne II vient lui demander son aide militaire contre les Lombards qui menacent Rome, et le sacre roi à Saint-Denis le 28 juillet. En octobre, Pépin envoie une délégation auprès des Lombards mais sans succès.
      755 : Pépin lance contre les Lombards une première expédition victorieuse.
      Édit de Ver instaurant la réforme monétaire.
      756 : deuxième campagne contre les Lombards.
      Instauration de la dîme en faveur du clergé
      Adoption du denier en argent.
      757 : troisième campagne contre les Lombards.
      757 : convocation du concile de Compiègne
      758 : quatrième campagne contre les Lombards, lors de laquelle il parvint finalement à les repousser hors de l'exarchat de Ravenne.
      759 : il chasse définitivement les Arabes de la Septimanie et reprend Narbonne.
      761 : première campagne d'une série de huit contre le duc Waïfre d'Aquitaine, dernière en 768.
      Au cours de sa campagne de 761, Pepin le Bref brûle une partie de Clermont-Ferrand, ce qui entraîne la destruction de Notre-Dame du Port. Menacé d'excommunication, il verse des sommes considérables pour sa réédification.

      768 : mort du roi Pépin le Bref, le 24 septembre, à l'abbaye Saint-Denis.
      Mariage et descendance
      Du mariage de Pépin le Bref avec Bertrade de Laon sont nés34 :

      Charles, le futur Charlemagne (742 ou 748-814), roi des Francs (768), roi des Lombards (774), empereur d'Occident (800).
      Carloman (751-771), roi des Francs (768).
      Gisèle (757-811), abbesse de Chelles
      Pépin (756-762)
      Berthe
      Rothaïde
      Isbergues
      Adélaïde
      Notes et références
      Décalque de son nom latin Pipinus Brevis : Les monumens de la monarchie française, 1729, p. 187 : .
      Jean Favier, Dictionnaire de la France médiévale, Fayard, 1995, p. 742.
      Pépin le Bref sur le site de la Fondation pour la généalogie médiévale [archive].
      (en) Claude Wenzler, Kings of France, Ouest-France Livres, 1995, p. 13.
      Micheline Josse, Le domaine de Jupille des origines à 1297, Pro Civitate, 1966, p. 18.
      Christian Settipani, La préhistoire des Capétiens: 481-987, P. Van Kerrebrouck, 1993, p. 181.
      Stoclet 2001, p. 1057-1093.
      L'application de la coutume franque est basée sur le partage de l'héritage entre tous les fils héritiers plutôt que son attribution seulement au fils aîné, en dépit de la règle de primogéniture agnatique (masculine) appliquée chez les Romains.
      Christiane Veyrard-Cosme, L'œuvre hagiographique en prose d'Alcuin, Edizioni del Galluzzo per la Fondazione Ezio Franceschini, 2003, p. 27.
      G. Bührer-Thierry, L'Europe carolingienne (714-888), 1999, p. 19.
      Riché 1997, p. 67
      Georges Bordonove Charlemagne, empereur et roi [archive], 1989, p. 26.
      Anne-Orange Poilpré, Maiestas Domini [archive], 2005, p. 170.
      Stéphane Lebecq, professeur d'histoire médiévale à l'université de Lille-III, Les Origines franques Ve-IXe siècle [archive], 1990, p. 211.
      Revue de l'Université d'Ottawa [archive], 1955, p. 199.
      Article dans C. Gauvard, A. de Libera, M. Zink (dir.), Dictionnaire du Moyen Âge, p. 1136.
      Henri Pirenne, Histoire de l'Europe. Des invasions au xvie siècle, Paris-Bruxelles, 1939, p. 43.
      Christian Settipani, Les ancêtres de Charlemagne [archive], 1989, p. 10.
      Alexandre Huguenin, Histoire du royaume mérovingien d'Austrasie, Durand (Paris), 1862 (lire en ligne [archive]), p. 589, voir note 1 de bas de page.
      Pépin envoie Fulrad, le chapelain de Saint-Denis et Burchard, évêque de Wurtzbourg.
      Michel Kaplan, Histoire médiévale [archive], 1994, p. 179.
      Chantal du Ry, Huy - Histoire d'une ville médiévale à travers ses légendes et ses monuments [archive], 2000, p. 51.
      Clausula de unctione Pippini, citée dans : Pierre Riché, Les Carolingiens. Une famille qui fit l'Europe, Hachette Littératures, 1997, p. 46.
      (Livre de Samuel, I. X, 1.) cité par Lorant Deutsch, Metronome, 2009, p. 142.
      Scriptores rerum Merowingicarum : la Clausula de unctione Pippini regis (l'onction royale de Pépin le Bref) est un récit composé en 767, en fait un colophon — note terminale et anonyme — ajouté à un manuscrit dont l'auteur anonyme fut le témoin oculaire de la cérémonie du sacre de Pépin et de ses fils (B. Krusch, Hanovre, 1885, p. 465-466, et nouvelle édition : G. Brunel, E. Lalou (dir.), Sources d'histoire médiévale, ixe - milieu du xive siècle, Paris, 1992, p. 73. Informations provenant du site des Clionautes [archive] (version du 23 juin 2006 sur l'Internet Archive)).
      Michel Grenon, Conflits sud-italiens et royaume normand (1016-1198) [archive], Éditions L'Harmattan, 2008, p. 85.
      dahu74, [archive], sur multicollec.net (consulté le 5 avril 2016).
      Gildas Salaün, , Monnaie magazine,? juillet 2019, p. 48-53 (ISSN 1626-6145)
      Karl Joseph von Hefele, Joseph Hergenröther, P. Richard, Albert Michel, Alois Knöpfler, Charles de Clercq, Histoire des conciles d'après les documents originaux, G. Olms, 1973.
      Sylvain Gouguenheim, Aristote au Mont Saint-Michel, Seuil, 2008, p. 35.
      Dierkens 1996, p. 38.
      Philippe Valode, L'histoire de France en 2000 dates, Place des Éditeurs, 2011, p. 66.
      (de) Karl Heinrich Krüger, Königsgrabkirchen der Franken, Angelsachsen und Langobarden bis zur Mitte des 8. Jahrhunderts: ein historischer Katalog, W. Fink, 1971, p. 179.
      Christian Settipani, La Préhistoire des Capétiens (Nouvelle histoire généalogique de l'auguste maison de France, vol. 1), Villeneuve-d'Ascq, éd. Patrick van Kerrebrouck, 1993, 545 p. (ISBN 978-2-95015-093-6), p. 185-7.
      Voir aussi
      Sur les autres projets Wikimedia :

      Pépin le Bref, sur Wikimedia Commons
      Bibliographie
      Jules Viard (éd.), Les Grandes Chroniques de France, t. II : De Clotaire II à Pépin le Bref, Paris, Société de l'histoire de France, 1922, XXXVIII-268 p. (présentation en ligne [archive], lire en ligne [archive]), [présentation en ligne [archive]].
      Jacques Boussard, , Journal des savants, Paris, Klincksieck, no 1,? janvier-mars 1973, p. 3-27 (lire en ligne [archive]).
      Jean Chélini, , Revue d'histoire de l'Église de France, t. XLII, no 139,? juillet-décembre 1956, p. 161-174 (lire en ligne [archive]).
      Florence Close, , Revue belge de philologie et d'histoire, t. 85, fascicule 3-4,? 2007, p. 835-852 (lire en ligne [archive]).
      [Dierkens 1996] Alain Dierkens, , Médiévales, no 31 : ,? automne 1996, p. 37-51 (DOI 10.3406/medi.1996.1366, lire en ligne [archive], consulté le 19 janvier 2019).
      Claude Gauvard (dir.), Alain de Libera (dir.) et Michel Zink (dir.), Dictionnaire du Moyen Âge, Paris, Presses universitaires de France, 2002, L-1548 p. (ISBN 2-13-051825-7).
      André Gybal, l'Auvergne berceau de l'Art Roman, Édetions de Bussac, 1957, p. 235 à 266.
      Stéphane Lebecq, Nouvelle histoire de la France médiévale, vol. 1 : Les origines franques, ve?– ?ixe siècle, Paris, Éditions du Seuil, coll. (no 201), 1990, 317 p. (ISBN 2-02-011552-2).
      Léon Levillain, , Bibliothèque de l'École des chartes, Paris, Librairie Auguste Picard, t. XCIV, 4e-6e livraisons,? juillet-décembre 1933, p. 225-295 (lire en ligne [archive]).
      Pierre Riché, Les Carolingiens, une famille qui fit l'Europe, Paris, Hachette, coll. , 1983 (réimpr. 1997), 490 p. (ISBN 2-01-278851-3, présentation en ligne [archive])
      Alain J. Stoclet, , Revue belge de philologie et d'histoire, t. 79, fascicule 4,? 2001, p. 1057-1093 (lire en ligne [archive]).
      Alain J. Stoclet, Fils du Martel : la naissance, l'éducation et la jeunesse de Pépin, dit (v. 714 - v. 741), Brepols, coll. (no 13), 2013, 386 p. (ISBN 978-2-503-54877-7, présentation en ligne [archive]), [présentation en ligne [archive]].
      Cyrille Vogel, , dans Erna Patzelt, Die karolingische Renaissance, Graz, Academische Druck, 1965 p. 171-242, présentation en ligne ici [archive] ou encore ici [archive].
      Télévision
      Charlemagne, le prince à cheval, téléfilm franco-italo-germano-luxembourgeois en trois parties, réalisé par Clive Donner, et diffusé la première fois sur France 2 en 1993, avec André Oumansky dans le rôle de Pépin le Bref.
      Articles connexes
      Généalogie des Mérovingiens
      Royaumes francs
      Austrasie
      Neustrie
      Liens externes
      (en) [archive], dans l'Encyclopædia Britannica en ligne.
      Robert Folz, [archive], dans Encyclopædia Universalis en ligne.
      [archive], dans l'Encyclopédie Larousse en ligne.
      Notices d'autorité : Fichier d'autorité international virtuelBibliothèque nationale de France (données)Système universitaire de documentationBibliothèque du CongrèsGemeinsame NormdateiBibliothèque royale des Pays-BasBibliothèque nationale tchèqueWorldCat
      Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes : Biografisch Portaal van Nederland [archive] • Deutsche Biographie [archive] • Dizionario di Storia [archive] • Encyclopædia Britannica [archive] • Encyclopædia Universalis [archive] • Gran Enciclopèdia Catalana [archive] • Encyclopédie Larousse [archive]
      Ressources relatives aux beaux-arts : (en) National Portrait Gallery(de + en + la) Sandrart.net
      [masquer]
      Voir ce modèle.
      Roi des Francs
      Précédé par Suivi par
      Childéric III
      Pépin le Bref
      751 à 768
      Charlemagne
      [afficher]
      Voir ce modèle.
      Les maires du palais des royaumes francs
      [afficher]
      v · m
      Arnulfiens et Pépinides
      [afficher]
      v · m
      Dynastie carolingienne
      [afficher]
      v · m
      Rois des Francs, rois de France, rois des Français et empereurs des Français
      Portail du Haut Moyen Âge Portail de la monarchie Portail du royaume de France
      Catégories : Naissance en 714Décès en 768Personnalité française du Moyen ÂgePersonnalité du VIIIe sièclePippinideCharlemagneRoi des FrancsNoble du Moyen ÂgeMaire du palaisNoblesse franqueCarolingienHistoire de la France médiévaleHistoire des FrancsPersonnalité inhumée dans la basilique Saint-DenisDécès à 54 ans[+]

    About the surname Des Francs


    When copying data from this family tree, please include a reference to the origin:
    Chris van Wincoop, "Family tree van Wincoop - Sandkuijl", database, Genealogy Online (https://www.genealogieonline.nl/stambooom-van-wincoop-sandkuijl/I3492.php : accessed June 27, 2024), "Pepin(Pepijn "de Korte") (Pepin "Le Bref"(Pepijn "de Korte")) "Le Bref" des Francs Roi des Francs, Maire du palais de Neustrie, Maire du Palais d'Austrasie (± 714-768)".